La Ville du Chaos
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 j'aurais du le faire avant

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lucian

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MessageSujet: j'aurais du le faire avant   j'aurais du le faire avant Icon_minitimeVen 8 Jan - 2:23

bye


Dernière édition par fuck you le Dim 4 Avr - 1:17, édité 4 fois
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lucian

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MessageSujet: Re: j'aurais du le faire avant   j'aurais du le faire avant Icon_minitimeSam 9 Jan - 18:26

Histoire:

Monica Franc était une jeune femme qui était partie des États-Unis pour aller voir le monde. Sa mère aujourd’hui décédée, lui laissa pour héritage une colossale fortune qu'un comptable intègre gérait avec succès par son lien avec la famille de Monica. Moyennant un petit pourcentage des profits qu'engrangeait Monica. Cette dame commença son périple au travers le monde, refusant obstinément de prendre l'avion ou un bateau de croisière. Elle désirait voyager à la dure et surtout faire des rencontres de tout acabit. Ses moyens de transports étaient les voitures des autres pour se déplacer sur un territoire à l’autre et ses jambes. Aillant beaucoup d'argent, elle laissait à ceux qui l'embarquaient un généreux pourboire et le souvenir de son magnifique sourire. Son voyage l'amena dans les plus petits villages des plus petits pays ou elle fit la rencontre de l'évêque Maurice de langueverne. Un homme très intéressant malgré son apparence et très attirant, pour Monica, par sa simplicité. Ces deux la devinrent amant par la force des choses. Monica tomba enceinte et devint dès lors sédentaires. L'évêque de Langueverne, déçu par ses vœux qu'il avait brisés et sa honte de ne plus pouvoir regarder le ciel, s’ôta la vie en laissant une lettre a Monica.

'' Ma chère Monica,

J'espère que tu me pardonneras ma lâcheté mais j'ai trop honte de mes actes.
Mon amour pour toi a dépassé l'amour que je vouais à dieu, ta grâce était rendue mon seul désir.
C'est une larme à l’œil et la colère au cœur que je t'écris ce court message, j'aimerais tant pouvoir t'haïr pour la couverture de honte que tes mains mon données mais j'en suis incapable,
Ce dilemme entre mon amour pour toi et ma haine des pêchers que j'ai commis m'empêche de me regarder dans un miroir.
Si tu me pardonnes ma douce j'espère que tu me feras la faveur de donner vie a l'enfant issue de mon pécher d'amour et qu'il portera mon nom.
Ainsi, malgré mes tourments éternels dans l'enfer, j'aurais l'impression, peut-être illusoire, d'avoir laissé un peu de bien sur cette terre durant ma vie.

Maurice de langueverne''

C’est de cette relation que naquit Michael De Langueverne, un petit garçon qui était le portrait craché de son père. Monica franc rejoignit son amant lors de cet accouchement dans un pays peu instruit coté médical. Selon les dernières volontés de sa mère c'étais au comptable, oncle de Michael, que revenait la garde. Michael fut donc ramené aux États-Unis d'Amérique pour y être élevé par un oncle distant, sans femme. Son oncle avait entreposé l'héritage qui irait à Michael à sa majorité, dans un compte intouchable et faisait vivre Michael grâce à l'argent de l'assurance vie de Monica. Il fut élevé avec les valeurs de la Famille Franc. Dans l'honnêteté, le bien parler et dans l'intégrité, mais lui ne ressentait que solitude et une envie insatisfaite. Dans une génération ou les biens matériels et la superficialité étaient roi, il arborait une apparence médiocre et n'avait que bien peu de bien matériel de haut de gamme. Souvent premier de classe, il avait énormément de difficulté à tisser des liens. Son seul ami étais un chat qui le suivait partout dans la maison de son oncle. Il vécut seul et rejeté par ses camarades d'école mais jamais il ne fut insulté, sa verve et sa politesse était incompréhensive pour ceux qui désiraient le blesser.

Ses treize ans approchaient alors que, pour la première fois, des gens eurent de l'intérêt pour lui. Ce fut lors d'un spectacle à l'école. Chaque élève devait passer sur scène et montrer un de leur talent. Lui, avait chanté Land of confusion de Genesis. Il eut droit à une ovation debout après sa performance, mais l'attention que plusieurs lui portait ne faisait que l'enfermer de plus en plus, bien que les jeunes filles voulaient maintenant de lui comme amoureux. Malgré tout, il fermait les yeux sur toutes les avances qu'elles lui faisaient, sa propre apparence le dégoûtait, or donc il ne pouvait accepter d'être aimé pour un feu de paille et comme il avait souvent raison, 2 mois après sa performance, on parlait maintenant d'un autre garçon qui était capable de faire différentes figures complexes avec une planche à roulette.

Il commença à développer des troubles. Il venait d’être directement confronté à la superficialité de son monde et même s’il se refusait à la croire, le petit moment où il avait été le centre d’intérêt lui avais plût. Il se développa une paranoïa protectrice sans élan dans des recoins éloigné de la classe ou de son école. Évitant d’habile manière les travaux d’équipe. Toujours premier de classe avec une moyenne de 97 %, même en éducation physique il obtenait de bons résultats, non pas par son talent dans les sports mais par son intelligence. Il savait comment, même en aillant des performances parfois misérables dans le sport, avoir une bonne note. C’est à quatorze ans que sa vie bascula.

Quelque semaine après sa fête, qui avait été soulignée par un petit gâteau livré chez lui et une permission pour rester à la maison aujourd’hui. Ce qu’il fit avec joie, restant dans sa chambre et attendre que le temps passe en flattant son chat qui dormait avec lui. Ce fut à ce moment là que le portail, qui allait chambouler tous les gens dans les villes des alentours, s’ouvrit. Rapidement cette zone fut mise en quarantaine. Ce fut en vain puisque les mutants s’étaient déjà éparpillés et c’est dans ses cours qu’il fut, sans vraiment le savoir, confronté à ces mutants. Alors qu’il rageait contre la classe, une voix résonnait dans sa tête, lui expliquant diverse pensé des autres et lui parlant de lui-même. La voix ne cessait jamais et lui, il se sentait épié sans relâche; matin, midi et soir. Elle lui décrivait l’environnement, les émotions des gens autour ou différents scénario possibles à certaines choses.

Incapable de dormir, un soir, il regardait dans la demi-pénombre de sa chambre, alors que la voix s’était enfin tue. Il ne restait devant lui qu’une vague impression qu’il y avait quelque chose qui le regardait. Une distorsion dans l’air, incessante. Il eut là une discussion hors de l’ordinaire. Il éleva la voix et demanda qui était-là. Une voix dans sa tête, profonde et triste, résonna.

-Je suis une ombre de peur et de rage qui fut consommée par mes propres démons. Je fus condamnée à chercher un être que je pourrais aider. Veux-tu de moi?
Après un long échange et un vigoureux débat contre la voix et sa propre paranoïa pour arriver à une entente, ils finirent par s’entendre : Pendant une semaine, l’ombre serait au service du jeune homme et si ce qu’il faisait lui plaisait, il accepterait de l’avoir à son service. Le pacte fut entendu après la semaine d’essaie. Comment refuser cela alors qu’à chaque matin, son déjeuner était prêt sur la table -souvent des repas copieux-, son linge prêt et tous ses effets personnels étaient près de la porte. Il obtint alors sa première marque sur l’omoplate gauche, certifiant que le pacte avait été conclu. La voix continuait de résonner dans sa tête, l’avertissant de divers danger et lui chuchotant des commentaires sur son entourage. La voix l’inquiétait puisque, souvent, elle se faisait entendre même si l’ombre était loin et parfois il s’adressait directement à l’ombre sans que celle-ci ne lui réponde. Sa tête était remplie de question sur la nature de cette voix, alors qu’autour de lui de plus en plus de gens s’inquiétaient des mutants qui apparaissaient hors des limites de la quarantaine. De plus en plus d’enfants cessèrent de fréquenter l’école, l’état de crise avait été déclaré et maintenant Michael restait, lui aussi, chez lui. A s’occuper de son chat qui était, depuis peu, tombé malade. Il avait commencé à perdre son poil, ne lui laissant qu’un petit collet noir autour de la gorge. Sa peau devenait de plus en plus verte, jusqu'au moment ou il se réveilla un bon matin avec deux yeux noir qui le fixaient et un long nez qui touchait le sien. Il repoussa ses couvertes avec un immense cri de peur, avant d’aller se réfugier dans un coin de sa chambre. La petite créature se hissa sur le lit et regarda Michael. Elle lui dit d’une voix aiguë :

-Tu ne me reconnais pas?

Michael fit signe que non de la tête avant d’attraper ses jambes et de les serrer contre lui. La voix dans sa tête lui insuffla un peu de courage, pour lui permettre de regarder la créature qui arborait un tribal sur le ventre. Par instinct, Michael vérifia son ventre et vit le même symbole, sur son propre ventre. La petite créature sauta au sol devant lui, l’air très triste et dit :

-C’est moi, Vark… Ton chat… ya quelqu’un qui est venue me voir et qui m’a offert… De venir… Non de devenir quelque chose d’encore plus utile pour toi… Je t’aime Michael, et je veux t’aider… On est lié maintenant. *Il pointa le symbole sur son ventre avant de continuer.* Laisse moi t’aider… Je suis encore ton chat… J’ai juste quelques… Capacités supplémentaires… T’es peut-être pas chaud de me voir comme ça, mais…

Michael coupa court à son discourt en l’attrapant pour le serrer dans ses bras et le flatter un peu, oubliant de lui demander qui était celui qui était venu voir Vark. Il avait encore son petit animal préféré avec lui, alors qu’il croyait devoir s’en séparer à cause de la maladie qui semblait le ronger, mais non, ce n’était que la mutation qui l’avait transformé. Michael avait dès lors deux amis, une ombre qui lui facilitait la vie et Vark qui le faisait rire et le distrayait. Son chat, maintenant doué de parole, le suivait quasiment partout dans la maison. Puisqu’il n’avait maintenant plus le droit d’en sortir. Alors qu’il avait 16 ans, le chaos vint attraper sa ville, durant la nuit une explosion le réveilla. Il bondit hors de son lit, mit ses vêtements et sorti de sa maison, Vark a sa suite, pour tomber face à face avec deux personne aux dents pointues et aux mains griffues qui le regardaient d’un air affamé. Vark disparut dans un flash de fumé. Michael vit alors sa vie défiler devant ses yeux. Des larmes se mirent à couler sur son visage alors que les deux hommes tendaient la main pour l’attraper et le mettre en charpie. Ils n’eurent pas ce privilège. Du bâtiment en flamme adjacent, une boule de feu sortit et brûla vif les deux hommes qui tombèrent en cendre en un clin d’œil. Vark revint à côté de Michael, enflammé de la tête au pied, et s’excusa de la peur qu’il lui avait fais. Il n’avait pas voulu pas le laisser tomber, mais il devait faire quelque chose. La voix dans sa tête finit de le rassurer sur la loyauté de Vark. Michael prit la parole

-Si c’est pour être comme ça, je veux partir… Je veux m’en aller loin, loin, loin… Plus voir ça j’ai… je…

Un vent froid arriva. L'ombre approcha et ouvrit un portail ténébreux, la voix dans sa tête commença à expliquer.

-Ce portail t’amènera dans un endroit plus sûr, au prix de ta jeunesse et d’une partie de….

Michael stoppa la déblatération dans sa tête. Il s’en foutait. Tout ce qu'il voulait faire était partir. Tout autour de lui brûlait, des cris de peur et des rires sadiques éclataient autour de lui. Il n’avait pas le temps de baratiner. Le visage rempli de larme et la peur au ventre, il se lança dans le portail, suivit de l’ombre.

Il apparut dans une prairie ou le ciel était bleu. Couché dans l’ombre, il ne pouvait plus se relever. Les yeux grand ouverts par les émotions qu’il venait de vivre. Il se releva bien des minutes plus tard et tout lui sembla plus lointain. Il manquait d’équilibre ses mouvements semblaient ardus, ou plus lent que d’habitude. Il tourna la tête pour regarder ses jambes, mais il eut peur quand quelque chose chatouilla son cou. Il le repoussa nerveusement, pour se rendre compte que c’étais ses cheveux qui arrivaient maintenant dans le milieu de son dos. De longs cheveux noirs avaient poussés en un instant et avant qu’il ne lance la question, la voix dans sa tête termina de lui expliquer ce que le passage dans le portail des ombres faisait à un corps humain. Il était âgé de 17 ans mais avait un corps de 26 ans. La voix termina en lui disant d’appeler Vark. Michael n’avait aucun indice de comment faire et attendit un moment que la voix lui souffle la réponse. Un bruit vint à ses oreilles. Un claquement de doigt. Il se retourna rapidement vers le bruit mais tous ce qu’il vit fut une silhouette noire. Ce fut trop bref pour qu’il distingue autre chose que la forme vague d’un être humain. Il claqua des doigts. Sans résultat. Il commença à marcher puisqu’il commençait à se trouver vraiment idiot à être là, debout dans un champ, à claquer des doigts. Mais quelque chose le stoppa, une pression invisible sur son torse l'arrêta et une voix vint lui chuchoter à l’oreille.

-Pense à celui que tu veux voir apparaître.

Michael figea. Ébahis, il ne put qu’obéir à la voix. Il claqua à nouveau des doigts mais, cette fois, il pensait à Vark. Aussitôt qu'il claqua des doigts, Vark apparut sur son épaule dans un nuage de fumer. Vark étais rendu si petit à comparer à Michael, que cela le fit rire et il se dirigea vers la ville non loin. Il apprit qu’il était en suisse, dans un petit coin tranquille. Ses belles manières et sa politesse lui valut le cœur d’une femme dénommée Marie qui l’hébergea pendant 1 an. Michael avais trouvé un habile stratagème pour cacher la nourriture, puisque son voyage dans le portail lui avait ôté la force de manger. Son corps rejetait toute nourriture ingurgitée. Michael, devenu aveugle par de trop longues années de rejet, ne remarqua même pas les indices les plus évidents de l’intérêt de Marie. Après 1 an, ni tenant plus, elle confronta Michael avec grande demande et ce fut par maladresse et par excuse, aussi pitoyable les une que les autres, que Michael refusa de s’investir. Toujours dégoûté par son apparence et incapable de se guérir de sa peur. Il était maintenant rendu au point de refuser tout amour extérieur par peur de ne pouvoir causer autre chose que peine, remord et tristesse a ceux qui n’étaient pas aussi laid que lui. Il quitta la maison de la femme, complètement abattu, pour errer dans la ville. En colère contre lui, la voix dans sa tête reprit, lui offrant un joli sermon sur ce qu’il manquait et c’est avec fatalisme que Michael répondit : « Pourquoi m’investir dans une relation amoureuse quand elles finissent toujours toutes mal…. Non… J’ai trop peur de la dépendance pour ça. » Il entra dans une maison abandonnée pour y passer la nuit.

Une odeur nauséabonde le réveilla. Une forme humaine devant lui, entièrement fait de chair décomposée, était devant lui et Michael étais assis sur une chaise, attaché, et Vark était couché sur ses genoux, l’air paisible. Michael voulu crier, mais il avait un chiffon dans la bouche et il était maintenu là par du ruban adhésif. Un bruit de pas s’approcha de lui et un homme apparut, le regardant. L’homme n’était pas très grand mais le charisme qui se dégageait de cet homme avait figé Michael, tout comme ses yeux : Un doré et un rouge. C’était absolument absurde. L’inconnu prit une autre chaise et s’assit de devant Michael, son œil doré brillait de mille feux, hypnotisant michael.

-Tu n’y comprends rien, n’est-ce pas?

Nerveusement Michael hocha la tête pour valider les dires de l’homme qui le détenait ainsi.

-Alors je vais te raconter une histoire… Il était une fois…

Il s’appuya confortablement sur le dossier de sa chaise, aucunement incommodé par le cadavre a ses côté, et continua son histoire

- …Un jeune homme, dont le travail était très simple : Il devait s’assurer que la peur ne devienne pas démesurée et que la colère ne conduise pas à des meurtres gratuits, et ce jeune trouvaient se travail… D’un ennui mortel… Ainsi donc, il décida de jouer avec les aptitudes, qu’on lui avait implantées pour faire ce travail, et à jouer avec la tête des gens. Son travail devint soudainement très intéressant mais beaucoup de gens ont commencés à mourir de tristes manières, même si lui trouvait cela très drôle de voir quelqu’un mourir au bout de son sang car il s’était arraché les yeux avec des pinces. Cet homme fut emprisonné et condamné à perdre ses aptitudes, mais sauvé par la chance, à même sa prison, un portail s’ouvrit et il put se sauver. Il atterrit dans un laboratoire, comme vous l’appelez, entouré de créatures étranges qui se sauvèrent à toutes jambes pour se régaler d’un bon petit snack d’humain. Un seul humain était encore debout quand il était apparut dans ce monde et celui-ci défendait sa vie avec ferveur. Sa peur et sa haine étaient palpables… Et, huum… Si délicieuse, qu’il ne pouvait pas le laisser mourir. Il attendit donc qu’une des créatures l’affaiblisse un peu et il lui offrit de vivre éternellement, au service d’un autre, pour effacer les émotions malsaines qu’il venait de manifester. Il fut énormément surpris qu’il accepte si vite, mais tenu parole et le transforma en une ombre sans but, qui le suivait et l’amenait visiter votre monde… Il l’amena dans les états désunis d’Amérique où il aperçu un pauvre petit, délaissé de tout le monde, qui cherchait éperdument le regard des autres. Son insécurité le fit sourire. Il n’était dangereux que pour lui-même. L’homme de notre histoire ne comprit jamais pourquoi, mais il lui prit l’envie de l’aider. Il c’est donc glissé dans la tête du jeune garçon pour l’aider, à sa façon, et de plus, l’homme avait une ombre qui devait servir un autre pour se faire pardonner ses écarts émotifs. L’homme inconnu appréciait le petit garçon qui croyait parler à l’ombre, alors que cette ombre avait comme seule voix celle de l’homme d’un autre monde. Il se lassa assez rapidement de ce spectacle coquasse de l’enfant qui discutait avec le vide. Son nouvel objectif était un chat. Le chat, et seul ami du petit garçon. L’homme partit à la recherche d’un moyen de le rendre plus loquace. Chose aisé, il n’avait qu’à le faire muter, ce qu’il fit. Le pauvre enfant croyait que son chat était malade alors, qu’au contraire, il devenait mieux. L’homme eu presque une larme lorsque qu’au matin, le petit se rendit compte de ce que son chat était devenu. La scène lui faisait chaud au cœur mais, hélas, bien des mois plus tard le malheur frappa. Le chaos des portails s’attaqua au états-désunis d’Amérique, changeant de manière positive le plan de l’homme. Le garçon entra dans un portail et il dut se concentrer pour le retrouver, il arriva dans un pâturage à temps pour voir les effets du portail. Il fit une évaluation rapide pour informer le jeune, maintenant devenue un homme, de sa situation. Il le regarda aller pendant 1 an tranquille, il était heureux. Le chat lui rendait visite quand il n’était pas accompagné. L’ombre était camouflée et attendait d’être appelée. Un an de bonheur partagé avant que le jeune homme décide de quitter la maison. C’est avec stupeur que l’homme, qui croyait avoir enfin guéri le petit garçon devenu grand, appris l’histoire en lisant ses souvenirs. Ni tenant plus il décida de se montrer… Fais le lien avec ta vie, petit….

L’homme de l’histoire se leva et envoya valser la chaise sur la quelle il était assis

-Regarde le cadavre qui est là… Je te présente le résultat de ta peur… Un vieux cadavre sans âme, qui ne souhaite que te protéger. Tout comme la pauvre Marie qui ne voulait que t’aider… Et je me présente; Evra Shan… Moi et cette goule… Appelons-la ainsi, sommes désormais lier à toi. La goule a pour but de te protéger, tu en as bien de besoin et c'est le seul moyen que je vois de te guérir de ta peur. Moi… Je te suis depuis bientôt 4 ans. Je mérite bien d’être ton ami, non?

Evra détacha sa veste et lui montra le symbole qu’il portait au niveau du cœur.

-Tu vérifieras, tu as le même symbole, au même endroit.

Evra détacha Michael qui s’empressa de regarder si Evra disait vrai, ce fut le cas, mais quand il voulut lui parler, Evra avais disparut tout comme la goule. Une enveloppe traînait sur le sol. Michael alla la ramasser, réveillant Vark au passage, la lettre disait


« Michael, tu sais comment nous invoquer. Je te propose
de vivre ici un moment, mais je suis certain que, d’ici peu,
tu t’ennuieras, ici, à ce moment demande a l’ombre de te
transporter où Evra veut que tu ailles et fait confiance à
tes amis. An plaisir de te voir plus tard, ce que je n’ai
même pas un doute de ce point. Ta peur est trop grande
pour que tu accepte l’amitié d’autres, et c’est seulement là
où je veux que tu ailles qui t’aidera. Ce sera le dernier
portail de l’ombre que tu prendras et je sais que tu sais
très bien pourquoi.

Avec toute mon amitié,
Evra Shan »

Evra avait raison, Michael vécu en Suisse jusqu'à ses 19 ans et il s’ennuyait fermement. Il n’avait pas besoin de travailler, étant seul et n’aillant aucun besoin de nourriture, il n’avait rien à faire mais, par orgueil, il resta une autre année en Suisse, avant d’invoquer l’ombre et d’entrer pour la deuxième fois dans un portail. Il arriva de l’autre côté, les cheveux blancs et il avait encore vieillit. Maintenant avec l’apparence d’un homme d’une trentaine d’année, il était dans un cimetière où sa vie dans Winter Hollow commençait. Alors que, la voix dans sa tête, lui énonçait son âge physique et sa nouvelle incapacité à dormir. Il fut aussi très surpris d’avoir maintenant des lunettes, qu’il rangea temporairement dans sa poche.


Dernière édition par PNJ le Lun 11 Jan - 18:28, édité 1 fois
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lucian

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MessageSujet: Re: j'aurais du le faire avant   j'aurais du le faire avant Icon_minitimeLun 11 Jan - 0:17

Terminer Smile il reste peut-etre quelque petit faute cela devrait etre corriger sous peu
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L'ombre
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L'ombre


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MessageSujet: Re: j'aurais du le faire avant   j'aurais du le faire avant Icon_minitimeVen 15 Jan - 12:46

Validé mon cher, j'aime ton personnage tres interessant!

Reste que ton personnage est encore un personnage compliqué xD
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lucian

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MessageSujet: Re: j'aurais du le faire avant   j'aurais du le faire avant Icon_minitimeVen 15 Jan - 13:01

tu sais bien que je suis un marginal, j'aime faire se que les autre ne font pas. un insécure saint d'esprit avec quelque particularité surhumaine ses toujours agréable a jouer XDD

je déconnne merci
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MessageSujet: Re: j'aurais du le faire avant   j'aurais du le faire avant Icon_minitime

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